Nos yeux pétillaient au moment où les Eurockéennes ont annoncé qu’ils s’étendaient sur quatre jours. L’édition 2013 qui célébrait les 25 ans laissait un goût nostalgique, notre festival français favoris ajoute officiellement le jeudi aux festivités avec une programmation qui garde l’exigences des dernières années. Notre aftermovie de l’édition 2016 vous fera revivre de bons souvenirs et vous aidera à comprendre pourquoi vous ne pouvez pas passer à côté des Eurockéennes cette année encore. La programmation de cette édition réussit particulièrement bien le défi de l’éclectisme grand public en taquinant la frange la plus puriste du public avec des noms comme PNL, Booba et Dj Snake. Chacun trouvera son plaisir sur une scène ou une autre. Au milieu des têtes d’affiche – Iggy Pop, Justice, Gojira, Solange, Thiéfaine – et des middles – Daniel Avery, Moderat, La Femme, Chinese Man, Kevin Morby – la scène montante sera bien représentée avec entre autres Parcels, Shame, The Lemon Twigs, Her, Fishbach, HMLTD, ces deux derniers ayant clairement conquis la foule aux Transmusicales de Rennes en novembre. L’habituelle programmation du samedi de La Plage a été confiée à Vitalic cette année qui nous a concocté un très beau plateau avec notamment Fishbach, HMLTD, Thomas Azier et Helena Hauff. Il y jouera aussi son nouveau live : amis photographes il va y avoir de très belles choses à faire. On se doit enfin de saluer l’immense final de la grande scène qui verra se succéder Royal Blood, Phoenix et Arcade Fire, bon dieu qu’on a hâte ! La dernière belle nouvelle est l’aménagement d’un nouveau camping, plus confortable et plus animé semble-t-il. Pour les habitués qui connaissent un peu les lieux, il se trouvera vers les rails de train en...
Cabaret Frappé 2016 – Soirée d’ouverture...
posted by Julien
On a réalisé une petite vidéo pour l’ouverture du Cabaret Frappé 2016 en compagnie de Quintana, Tout En Vrac, NADJ et Mickey3d ! ...
Les Eurockéennes, sold out de plus en plus tôt...
posted by Julien
Impertinent à l’image de James Dean, le festival belfortin est peut-être le seul français à pouvoir afficher complet plusieurs semaines avant sans booker des Muse ou Pharrel Williams. Ce n’est donc plus un secret : rester authentique, suivre une réelle ligne artistique et défendre des valeurs ça marche ! Déjà 4 ans que ce festival rythme notre premier week-end de juillet sans jamais nous décevoir. Certes, personne n’aurait rechigné à voir Radiohead surplomber l’affiche de cette édition mais à quel prix ? Les Eurockéennes font le choix depuis quelques années d’un festival accessible au niveau tarifaire et d’un site agréable à vivre en bloquant le compteur à 34.000 personnes par soir, résultat : le public est varié et il en redemande. Il faut aussi noter le joli lien (toujours plus fort) que tisse l’équipe du festival avec les associations locales, que ce soit pour la gestion des bars, de la boutique ou pour des projets spécifiques à visée solidaire qui peuvent directement être proposés au festival. « Pourquoi on revient aux Eurockéennes » c’était le titre de notre article qui annonçait les Eurocks 2015 en parlant d’une programmation alliant mastodontes et découvertes, et d’une atmosphère unique, rien n’a changé depuis si ce n’est les noms à l’affiche et il y a clairement de quoi frissonner cette année. Toutes les formes de rock sont représentées avec en point d’orgue le final sur ZZ Top, espérons qu’ils soient aussi bons que Sting qui a donné l’an dernier un concert incroyable. Quelques noms à ne pas rater : -DBFC à la Loggia : Un des gros coups de cœur de 2015 qui se défend terriblement bien sur scène avec un rock électronique hybride et organique, si vous avez peur de la foule...
Acontraluz 2015 : quelques photos souvenirs...
posted by Julien
Au bord de l’eau, le dancefloor face au mucem, c’est dans ce cadre succulent que s’est déroulé le festival Acontraluz dont la programmation nous avait tapé dans l’œil pour cette fin d’été. Retour en photos sur ces trois soirées :...
Rock en Seine 2015 : Retour sur une belle boulimie musicale...
posted by Julien
Avec une programmation aussi alléchante il était difficile de passer à côté de Rock en Seine pour clôturer cet été, et puis ça tombait bien, le week-end précédent en vadrouille au Cabaret Vert, un petit passage à Paris s’imposait avant de retrouver nos belles montagnes. VENDREDI On démarre notre marathon de concerts par une découverte du festival : « VKNG, c’est un coup de foudre entre deux potes qui se connaissent depuis longtemps ». Ces deux potes, ce sont Thomas de Pourquery et Maxime Delpierre, producteurs et musiciens, qui ont multiplié les belles collaborations, jusqu’à jouer en live Should I Stay or Should I Go en compagnie de quelques Clash themselves. Révélé par les Trans Musicales, et pour son premier gros festival, le duo a eu le privilège d’ouvrir cette édition de Rock en Seine, et de bien belle manière. Réunissant fans, curieux et égarés, le groupe live (4 personnes sur scène) enchaîne avec succès les titres d’un premier album à paraître début octobre. Les VKNG (« Viking » à l’oral) sont des voyageurs, et la scène de l’Industrie est leur drakkar. Et la mer fut prise d’assaut ! Déjà croisé au Cabaret Vert 6 jours plus tôt, John Butler et ses musiciens entament le début d’une longue histoire pour Rock en Seine, faite à base de guitares et de rythmes. Après 10 ans sans passage sur une scène parisienne, l’australien se réjouit toujours autant d’enflammer le public français, « le premier à l’avoir adopté ». Cela s’est ressenti sur la Grande Scène de Rock en Seine, où la foule s’est amassée en nombre pour voir les performances de John Butler, qui délivre son imposant répertoire technique de guitare. Forcément, c’est un bon moment. Au vu de l’étendue de la foule Rodrigo y Gabriela étaient très attendus. « Le public français est très intense, il donne beaucoup, ça se sent vraiment depuis la scène ». Quelques 20 minutes après le début de leur concert, les deux guitaristes font monter une bonne trentaine de personnes sur scène – « Des fois on a 100 personnes sur scène, les fans sont toujours très respectueux, c’est plutôt cool ! » – pour une grande partie d’improvisation, un point qui est important aujourd’hui pour eux. « On a pas un but particulier, on fait ce qu’on aime. » Les deux gourous de la gratte nous ont confié quelques informations sur leur prochain album qui comprendra beaucoup de collaborations avec « des gens avec qui on a toujours voulu jouer. La plupart sont des amis, c’est pas juste des gens qu’on a rencontré comme ça ». Ils nous parlaient un peu plus tôt de leur début et de leur proche relation avec Metallica, les paris sont lancés pour les invités de l’album ! Après une petite pause musicale le temps de manger, et en attendant de retrouver Fauve, Offspring a fait réémerger de lointains souvenirs pour une nostalgie assurée. Pour être honnête, nombreux sont les médisants rencontrés sur divers festivals français qui se moquent de l’ambiance à Saint-Cloud… en tout cas les a priori ne s’appliquaient pas durant ce concert où de bons gros circle pit jaillissaient sous une ambiance bon enfant. 30 ans de carrière quand mêmes les gars ! Plus jeune, mais tout aussi forgé, le collectif Fauve s’est encore bien donné ce soir-là. Avec une scénographie fort bien travaillée et une proximité flagrante, le groupe ravie son public. « Ici ça fait partie des grands festivals encore vivable. » Finalement c’est bien plus plaisant de jouer dans des salles à taille humaine que sur un festival comme Sziget : « Ça a tendance à nous oppresser plus qu’à nous faire marrer. » Les gars avec qui on discute nous annoncent qu’ils vont faire une pause qui leur semble primordiale pour ne pas retomber dans une nouvelle routine, ce qu’ils chassaient à la base. Pour autant « notre besoin c’est de faire des choses ensemble. On a eu plein de projets avant, on en aura d’autres après,...
4 bonnes raisons d’aller à Rock en Seine 2015 les yeux fermés...
posted by Sam
Pour la couverture de notre premier événement dans la région parisienne, nous avons décidé de ne pas faire les choses à moitié en débarquant à Rock en Seine, plus grand festival francilien. En constante progression depuis 2003, date de sa création, Rock en Seine s’est imposé comme l’évènement musical français du mois d’août, et est une parfaite clôture d’une saison toujours plus riche. Réunissant plus de 120 000 personnes sur 3 jours dans le parc de Saint-Cloud, le festival est dopé d’arguments justifiant de le visiter au moins une fois. Accrochez-vous, en voici quelques-uns. Une programmation pop / rock au dessus des autres Bien qu’il puisse toujours y avoir débat avec les autres grands festivals français – Eurockéennes, Vieilles Charrues et Main Square en tête -, il semblerait bien que le rock soit bien mis en scène sur l’édition 2015. Parmi les gros artistes, les programmateurs ont laissé moins de places au noms éléctros et hip-hop, pour laisser un boulevard aux groupes rock et pop qui font 2015 : Libertines, Tame Impala, Kasabian, Fuzz, FFS, ou encore Interpol représentent le début d’une longue liste que l’on se réjouit de parcourir dans tous les sens en seulement 3 jours. Une série d’exclusivités en haut de l’affiche L’un des points forts Rock en Seine, c’est la période à laquelle se déroule le festival. Bien loin de l’agitation de juillet, où la plupart des festivals européenns se disputent les têtes d’affiche, le festival francilien fait face à une concurence beaucoup moins dense. Il est donc plus simple de signer de belles surprises. De plus, certains artistes ne tournant pas au début de l’été, les affiches se retrouvent chamboulées. Ajoutez à cela un gros budget et un ligne directrice de programmation bien définie, et vous avez la...
Pourquoi on revient aux Eurockéennes...
posted by Sam
Avec l’été, la saison des festivals arrive, et le premier week-end de juillet en est garni. Chaque année, une dizaine de gros festivals s’arrache les plus beaux noms du moment. Mais pour nous, pas besoin de choisir entre le Rosklide, Astropolis, Main Square ou Calvi on The Rocks, car on a notre éternel favori : les Eurockéennes de Belfort. On vous explique pourquoi. Une prog alliant mastodontes et découvertes C’est n’est un secret pour personne : un festival, c’est avant tout une programmation, et c’est toujours la première chose que l’on regarde. Si les Eurocks nous ont habitué à de belles exclusivités ces dernières années (Blur, Jay Z, The Cure…), on peut reprocher à l’édition 2015 de viser moins haut chez les têtes d’affiches. Mais la force des Eurocks s’est toujours cachée dans le milieu de l’affiche, et non tout en haut. Car les Eurockéennes, c’est avant tout un festival blindé de middles dans tous les genres. Bookés par un duo métal/électro de programmateurs, les quelques 60 artistes qui foulent chaque année le Malsaucy jouent sur des plateaux très différents, et le public se surprend aisément à passer du folk vers le métal avant de finir sur de l’électro, le tout en moins de 2 heures. C’est dans cet état d’esprit que le festival est devenu l’un des plus éclectiques de l’hexagone, se distinguant des autres de par la richesse et l’originalité de ses programmations. 2015 n’est pas une exception, et un lot de belles surprises s’y cache. Une atmosphère unique On n’a pas encore fait le tour de tous les festivals, mais on peut vous garantir que les Eurockéennes ont une identité qui leur est propre, et que tous ne peuvent s’en targuer. Situé dans un cadre naturel magnifique, avec...
Les 24 heures de l’INSA – 41ème édition...
posted by Julien
Nouveau record d’affluence pour l’INSA cette année dans une ambiance toujours aussi bon enfant, palme d’or du festival printanier sans prise de tête ! ...
La Fiesta des Suds, royaume syncrétique...
posted by Julien
En quête de découvertes au travers de la culture marseillaise, il fallait bien passer par le Dock ce week end où se déroulait un des festivals emblématiques de la ville. Mêlant avec brio les époques, les styles et les cultures, la Fiesta des Suds propose un éclectisme rare pour un week end d’une grande intensité. Sans se laisser aller dans une course quantitative, il est quand même bien agréable de passer d’une ambiance à une autre en un claquement de porte, l’intérêt d’un tel événement dans une telle salle. Alors oui, on s’est fait plaisir et on a joué le jeu pour trois soirées parsemées de petites perles. Jeudi, une première soirée riche en découvertes La volonté était de mise mais la contrainte universitaire l’emporta… Quittant Luminy aux alentours de 20h, un 21, une douche et une assiette de pâtes plus tard c’est parti pour Plaza Francia – nouveau projet musical de Catherine Ringer qui rejoint les musiciens de Gotan Project. Sans que ce soit un style musical qu’on défende particulièrement, on passe un bon moment en compagnie de gars qui maîtrisent leurs instruments et qui nous servent un tango argentin parsemé de sonorités plus modernes et quelques basslines bien entraînantes. C’est aussi le moment de redécouvrir l’allégresse d’une des reines du paysage artistique français, d’autant plus que le groupe nous gâte en reprenant quelques classiques des Rita Mitsouko. À peine le temps de rentrer dans l’univers Ringer qu’il faut déjà se sauver si l’on veut avoir le temps d’apprécier Christine & the Queens sans pour autant rater le début de Massilia Sound System, tout une stratégie de la diversité se déployant. La représentation scénique est...
Rocktambule – Nos Impressions...
posted by Sam
A l’occasion de ce week-end grisâtre d’octobre, Little World Music se remet en jambe pour le festival Rocktambule. Au programme pour nous, photo, vidéo, mais surtout pas mal de concerts de qualité à se mettre sous la dent. On se croirait presque en été ! Jeudi : Une entrée aux styles variés : Le festival s’ouvrait sur une journée orientée rap et électronique. On regrette d’ailleurs ce choix, car on a vu deux publics bien distincts au cours de la même soirée, ce qui a eu un impact sur les affluences devant la scène, bien trop vide pour des artistes de ce rang, dans une ville comme Grenoble. Si un nombre satisfaisants de place furent vendues pour un jeudi de période scolaire, on n’en a pas vu la couleur sous le chapiteau. Un coup habile pour les finances du festival, mais moins pour l’image dégagée au public et aux artistes. Ce problème de fréquentation passé, on est néanmoins rassuré par le travail de chaque artiste, qui remplissent leur part du boulot. En ouverture, on retrouve BigFlo & Oli, Espoirs d’un rap tricolore en dent de scie. Belle réussite, avec deux minots, tout droit revenus de Nouméa, chauds comme la braise, proposant un live rap comme on aimerait en voir plus de nos jours : dynamique, instrumental (la contrebasse, c’est la classe), sans complexes et plein d’envie. Bonne route messieurs, on vous recroisera forcement ! Les ainés de S-Crew ne seront d’ailleurs pas au niveau, misant trop sur de grosses bases et des phrasés agressivement punchlinés. Un peu de finesse ne ferait pas de mal. La transition entre rap et electro a été amorcée par le duo Tha Trickaz, qui propose un set dubstep blindé d’énergie, qui retiendra l’attention de ces deux publics aux univers différents. Bonne...
Notre sélection du Rocktambule 2014...
posted by Julien
Jeudi On ne va pas vous cacher qu’on attend impatiemment le live des Carbon Airways. Après de nombreux échos positifs et quelques vidéos montrant leur présence scénique décapante, ça sera enfin à notre tour de s’agiter sur leur électronique contagieuse. On apprécie le geste risqué des programmateurs de booker Hudson Mohawke et Rustie, pas vraiment les noms les plus rentables pour un festival généraliste comme le Rocktambule. On se frotte tout de même les mains à l’idée de se mesurer aux bass des deux jeunes anglais du génial label Warp, omniprésent en ce moment (on vous reparlera de ceci très prochainement). Plus d’un seront surpris ce soir-là. Vendredi On ne va pas vous mentir, couvrir un concert de Tiken Jah n’est pas dans nos habitudes, mais qu’est-ce que ça nous enthousiasme ! À chaque montée sur scène c’est une énergie enflammée qui étreint la salle, et il n’a même pas besoin de l’aide d’un beat électronique pour y parvenir. Il ne fait que lâcher cette vague qui le submerge sur son public, une vague qui nous porte nous aussi : la musique. On se retrouve donc vendredi sous le chapiteau de l’Esplanade pour la partager avec vous. Quand aux absents, on essaiera de vous la faire passer à travers nos vidéos ! Un autre détour acoustique pour l’équipe qui va cette fois se frotter à la chanson teintée de folk tzigane des Ogres. Le festival s’offre ici un invité de choix qui devrait faire vibrer et danser le chapiteau. Je ne sais pas vous, mais de notre côté on va se laisser tenter par cette joyeuse gigue qui s’annonce comme l’un des lives les plus endiablés de cette édition 2014. L’une des...
Concert de clôture de Campus en fête 2014...
posted by Loic
Si le Rocktambule se fait une belle affiche cette année, il n’en est pas moins du côté du campus avec des noms plus qu’alléchants pour cette deuxième édition du concert de clôture de Campus En Fête. Anakronic Electro Orkestra (Electro Klezmer / Toulouse) Portés par Krakauer, inspirés par des grands noms tels que Zorn ou Dj Socalled, les 5 compères toulousains se sont dirigées vers les horizons Klezmer tout en restant attachés à leur culture électro hip-hop. Tout comme Pad Brapad ils harmonisent avec brio ce mélange de genre pour donner lieu à une scène explosive, dansante et pleine de vie. GRIZ (electro-soul dubstep / USA) Faut-il vraiment présenter Griz après la sortie de son nouvel album « Rebel Era » et sa collaboration avec Gramatik qui a donné le nom de Grizmatik (oui, ils ne sont pas allés chercher très loin, mais le principal est que ça claque !). Il nous délivre une électro-soul léchée parfois dérivant sur de la dubstep Armé de son saxo et de , il fait face aux foules des plus grands festivals ! FILASTINE (Transnational Bass / Espagne) C’est personnellement un des coups de coeur que j’ai eu dès la découverte, il y a deux ans, de cet artiste. Une électro au son puissant au carrefour des genres et des civilisations avec l’extraordinaire voix toujours pure et claire de Nova. Un ensemble hypnotique qui nous plonge dans une transe musicale qu’on ne voudrait jamais quitter. MONKEY THEOREM (HipHop / Grenoble) Les habitués de l’ampérage et de l’asso Waza Crew ne manqueront pas de connaître les Monkey Theorem. Issus de la scène grenobloise ce groupe de 2 MCs, un DJ et un multi-instrumentiste nous offre un hip-hop français aux voix entremêlées et à la prod poussée Bref,...
Nos amis les relous (en festival)...
posted by Julien
De retour à la réalité après ces deux mois de festivités, en rêvant aux bons souvenirs, on voit défiler toutes ces rencontres et on repense aussi à nos chers amis – les plus aimables comme les plus fatigants – sans qui les noces ne seraient pas de même augure. Expérience oblige, voici une liste non exhaustive de nos amis relous que l’on aime tant ! Le saoul Classique des classiques, vous côtoyez forcément l’ivresse de certains et même si vous la fuyez, elle vous rattrape constamment. Vous vous souvenez, ce jeudi soir, alors que les concerts n’avaient pas encore démarré que vous couchiez déjà votre collègue à moitié titubant dans sa tente, l’histoire de ne pas le laisser dormir dans l’allée. Remède : Faites-le boire encore plus à l’apéro, vous n’aurez même pas besoin de vous déplacer pour le coucher ! Le pauvre Alors que vous avez fait des petites économies dans l’année pour vous faire plaisir durant vos vacances, la douce odeur d’une tartiflette en boite vous est particulièrement embarrassante… Les mains vides de cette même personne alors que vous partagez un excellent falafel – chillant pendant le concert de Vanessa Paradis – vous mettraient presque la larme à l’œil… Remède : Dérobez lui quelques centaines d’euros dans l’année, le bougre ne s’en apercevra pas vu l’état de ses comptes, il vous en sera reconnaissant une fois l’histoire dévoilée. Le traînard Quelque soit la raison, celui-là prend un malin plaisir à vous ralentir alors que vous faites tout pour ne pas rater le petit groupe en warm-up que vous avez repéré la semaine dernière. Remède : Placez discrètement un réveil sous sa tente accompagné d’un petit mot une heure avant de vous lever, ce...
Hadra Trance Festival VIII...
posted by Julien
Nous offrant une décoration fastueuse sur la Main Stage, les équipes de décorateurs d’Hadra immortalisent les lieux en cette dernière édition du festival à Lans en Vercors. On est bien sûr présent pour capter la chaleur qui s’en dégage, bon festival à tous ! Notre album photo sur le lien qui suit:...