Avant son passage à Grenoble en septembre dernier, Thylacine a pris le temps de discuter avec nous autour d’un Blind Test qui parcourt ses influences classiques et électroniques. On discute d’improvisation, de piano, d’allemands qui ont un peu le boulard mais qu’on aime bien, et on se moque même un peu d’Alt-J....
On recrute !
posted by Julien
Little World Music est une belle famille qui s’étend au fil des mois et nous avons aujourd’hui besoin de toi. Toi le chroniqueur pointilleux, toi le graphiste loufoque, toi le monteur effréné ! Bref tu l’auras compris, notre appel est vaste : rédacteurs et graphistes en priorité mais aussi cadreurs, monteurs, post-producteurs, photographes… Si tu veux faire partie d’une équipe de passionnés qui travaille dans de nombreuses salles grenobloises et marseillaises durant l’année et qui voyage en festival l’été, si tu portes un amour fou pour la musique, et si tu souhaites partager tes compétences et développer tes talents cachés au sein d’un collectif enjoué, saisis cette opportunité rarissime ! Contacte-nous par mail à l’adresse suivante : contact@littleworldmusic.fr Pour nos collègues grenoblois et marseillais, on pourra facilement discuter plus de détails autour d’un verre. P.S : Nous serons présent sur Rocktambule du lundi au dimanche. P.SS : Nous sommes une association de bénévoles dans laquelle chaque membre s’investit selon son temps libre, nous ne nous fixons pas de réelles contraintes en dehors de nos engagements avec nos...
Electric Rescue Dj Set – La Belle Électrique...
posted by Julien
Souvent en B2B ou sur son side-project Mod3rn, c’est Electric Rescue seul dont nous avons pu profiter et ça n’en était pas moins plaisant. En clôture d’une longue nuit techno, ses deux belles heures de Dj Set ont régalé un public captivé, dont les boucles raisonnent encore dans la tête quelques mois après. ...
Acontraluz 2015 : quelques photos souvenirs...
posted by Julien
Au bord de l’eau, le dancefloor face au mucem, c’est dans ce cadre succulent que s’est déroulé le festival Acontraluz dont la programmation nous avait tapé dans l’œil pour cette fin d’été. Retour en photos sur ces trois soirées :...
Rock en Seine 2015 : Retour sur une belle boulimie musicale...
posted by Julien
Avec une programmation aussi alléchante il était difficile de passer à côté de Rock en Seine pour clôturer cet été, et puis ça tombait bien, le week-end précédent en vadrouille au Cabaret Vert, un petit passage à Paris s’imposait avant de retrouver nos belles montagnes. VENDREDI On démarre notre marathon de concerts par une découverte du festival : « VKNG, c’est un coup de foudre entre deux potes qui se connaissent depuis longtemps ». Ces deux potes, ce sont Thomas de Pourquery et Maxime Delpierre, producteurs et musiciens, qui ont multiplié les belles collaborations, jusqu’à jouer en live Should I Stay or Should I Go en compagnie de quelques Clash themselves. Révélé par les Trans Musicales, et pour son premier gros festival, le duo a eu le privilège d’ouvrir cette édition de Rock en Seine, et de bien belle manière. Réunissant fans, curieux et égarés, le groupe live (4 personnes sur scène) enchaîne avec succès les titres d’un premier album à paraître début octobre. Les VKNG (« Viking » à l’oral) sont des voyageurs, et la scène de l’Industrie est leur drakkar. Et la mer fut prise d’assaut ! Déjà croisé au Cabaret Vert 6 jours plus tôt, John Butler et ses musiciens entament le début d’une longue histoire pour Rock en Seine, faite à base de guitares et de rythmes. Après 10 ans sans passage sur une scène parisienne, l’australien se réjouit toujours autant d’enflammer le public français, « le premier à l’avoir adopté ». Cela s’est ressenti sur la Grande Scène de Rock en Seine, où la foule s’est amassée en nombre pour voir les performances de John Butler, qui délivre son imposant répertoire technique de guitare. Forcément, c’est un bon moment. Au vu de l’étendue de la foule Rodrigo y Gabriela étaient très attendus. « Le public français est très intense, il donne beaucoup, ça se sent vraiment depuis la scène ». Quelques 20 minutes après le début de leur concert, les deux guitaristes font monter une bonne trentaine de personnes sur scène – « Des fois on a 100 personnes sur scène, les fans sont toujours très respectueux, c’est plutôt cool ! » – pour une grande partie d’improvisation, un point qui est important aujourd’hui pour eux. « On a pas un but particulier, on fait ce qu’on aime. » Les deux gourous de la gratte nous ont confié quelques informations sur leur prochain album qui comprendra beaucoup de collaborations avec « des gens avec qui on a toujours voulu jouer. La plupart sont des amis, c’est pas juste des gens qu’on a rencontré comme ça ». Ils nous parlaient un peu plus tôt de leur début et de leur proche relation avec Metallica, les paris sont lancés pour les invités de l’album ! Après une petite pause musicale le temps de manger, et en attendant de retrouver Fauve, Offspring a fait réémerger de lointains souvenirs pour une nostalgie assurée. Pour être honnête, nombreux sont les médisants rencontrés sur divers festivals français qui se moquent de l’ambiance à Saint-Cloud… en tout cas les a priori ne s’appliquaient pas durant ce concert où de bons gros circle pit jaillissaient sous une ambiance bon enfant. 30 ans de carrière quand mêmes les gars ! Plus jeune, mais tout aussi forgé, le collectif Fauve s’est encore bien donné ce soir-là. Avec une scénographie fort bien travaillée et une proximité flagrante, le groupe ravie son public. « Ici ça fait partie des grands festivals encore vivable. » Finalement c’est bien plus plaisant de jouer dans des salles à taille humaine que sur un festival comme Sziget : « Ça a tendance à nous oppresser plus qu’à nous faire marrer. » Les gars avec qui on discute nous annoncent qu’ils vont faire une pause qui leur semble primordiale pour ne pas retomber dans une nouvelle routine, ce qu’ils chassaient à la base. Pour autant « notre besoin c’est de faire des choses ensemble. On a eu plein de projets avant, on en aura d’autres après,...
Interview – Boris Brejcha (Eurocks 2015)...
posted by Julien
Quelques minutes avant l’ouverture de la 27ème édition des Eurockéennes de Belfort, nous avons pris rendez-vous au bord de l’eau en compagnie de Boris Brejcha. Devenu l’une des grosses têtes d’affiches électro de la saison, l’allemand a accepté de jouer le jeu d’une interview « Versus« . Une bonne mise en jambe avant de faire danser plus de 10 000 personnes en clôture de la Grande Scène. ...
Cabaret Frappé 2015
posted by Julien
Beaucoup de plaisir et de longues nuits de travail pour des vidéos qui nous l’espérons vous rappellerons de très bons souvenirs de cette 17ème édition du Cabaret Frappé ! ...
Sounds of Marseille Festival 2015 – Espace Julien...
posted by Julien
Une soirée placée sous le signe de la chaleur à l’Espace Julien en compagnie de The Great Joe Yabuki et Subz Crew retenus par Sounds of Marseille lors de ses tremplins, ainsi que les foufous Salut c’est cool suivi par Acid Arab en Dj Set. Retour en images sur ces 4 concerts aussi disparates que plaisant ! ...
Les 24 heures de l’INSA – 41ème édition...
posted by Julien
Nouveau record d’affluence pour l’INSA cette année dans une ambiance toujours aussi bon enfant, palme d’or du festival printanier sans prise de tête ! ...
Le Métamorphose w/ Dusty Kid, Madben, Electric Rescue, Cardboard B2B Max-Ls – La Belle Électrique...
posted by Julien
Le 25 avril dernier, la Métamorphose – asso grenobloise qui a comme dada la musique électronique et les arts visuels – organisait sa première soirée à La Belle Électrique avec des invités de choix. On était présent pour immortaliser cette très bonne soirée. ...
Asaf Avidan – Le Silo – 24 mars 2015...
posted by Julien
C’est un secret pour personne, Asaf Avidan a une voix fantastique, à chaque écoute aussi surprenante que la première. Une performance sublimée sur scène avec des musiciens qu’il semble fortement apprécier au vu des regards complices et des sourires échangés. Même si composer est un processus à la base purement égoïste pour Avidan, une nécessité – il ne s’en cache pas – sa musique prend tout son sens en live, dans l’échange qu’il produit avec le public : « Together we are making art ! » lance-t-il. Le partage est effectivement une notion que cet artiste connaît bien, n’hésitant pas à discuter pendant plusieurs minutes entre certaines chansons. Mardi c’est à quelques leçons de physique que le public a assisté, sous fond d’une recherche désespérée de liberté. L’homme n’est peut-être qu’une poussière dénué de libre arbitre, pour autant il suffit de croire en sa capacité d’agencer les choses… Et c’est bien de cette capacité que né l’art. Petit à petit la fosse se décontracte et se laisse absorber par l’univers d’Avidan, le set progresse vers des chansons plus dansantes et le temps file joliment. Mais le groupe est généreux, après une bonne heure de concert alternant le nouvel album avec ses anciennes compositions, Asaf revient d’abord seul jouant sa fameuse Reckoning Song sous des applaudissements unanimes. Quelques morceaux plus tard le groupe salue aisément son public, laisse la scène vide à nouveau et réapparaît deux/trois minutes plus tard alors que la salle tapait des pieds implorant une dernière douceur. « Ok one more song but you guys cannot sit down ! » et les gradins se levèrent instantanément. La grâce de monsieur Avidan emplie une nouvelle fois Le Silo, il semble tout aussi difficile pour l’artiste de se séparer de son public que...
Moutain Men et Thomas Schoeffler Jr. – La Belle Electrique...
posted by Julien
Nous nous devions d’inaugurer cette nouvelle salle sous le format multicam et on est plutôt fier de la soirée sur laquelle ça s’est décidé : un très beau concert des grenoblois Mountain Men avec une première partie très séduisante. À la croisée de la country, de la folk et d’un blues/rock, Thomas Schoeffler Jr. fait voyager son public dans un univers américain sous la forme d’un one-man-band. Armé de son harmonica ravageur, de sa gratte et son tambourin, ce jeune artiste entretient une relation proche avec son public n’hésitant pas à plaisanter et discuter de ses chansons. Une belle découverte ! ...
We Are Experience – Dock des Suds – 14 Février 2015...
posted by Julien
Le collectif WeArt plaçait la barre haute avec une scène principale bourrée de grands lives, l’attente du publique se faisait sentir avec événement très suivi sur les réseaux, c’était le genre de soirée où t’as pas le droit de te planter en tant qu’organisateur. Alors, après coup, ces 8 heures de musiques électroniques étaient-elles à la hauteur ? Pas la peine de la jouer Jean Pierre Foucault, oui, cette soirée était une belle réussite. Un peu avant 23h le Cabaret se rempli tranquillement devant DRMC Soundsystem sous une techno classique d’après les souvenirs avant de laisser place aux deux Cosmic Boys qui lancent d’attaque quelques tracks bien efficaces, de quoi se mettre en jambe. Le line-up étant très beau dans la Salle des Sucres et le publique attendu en nombre, c’est avec saveur que se passe un petit quart d’heure encore intimiste avant de partir pour David August, le jeune prodige qui a sorti il y a presque un an un album en toute discrétion, pourtant acclamé par la critique. Malgré des breaks parfois très étendus, le gamin d’Hamburg rattrape son public d’une électronique teintée de synthétiseurs pré-enregistrés ou joués en live. Bien souvent comparé à Nicolas Jaar avec son album Times, les affinités en live sont assez frappantes et font bel echo à des constructions ou des sonorités déployées sur le live de Darkside, tout en y injectant sa patte personnelle. Sous l’acclamation d’une salle bouillante et saturée, le français N’to est venu présenter un nouveau live accompagné d’un gars alternant batterie et xylophones. Une nouvelle dimension qui – mêlée à une structure plus frontale et dynamique dans le jeu des morceaux – renouvelle une prestation qui manquait de puissance : parie réussi. Ce n’est ni le premier ni le...
Rone (Live), Aufgang, Postcoïtum – Cabaret Aléatoire...
posted by Julien
Annoncée à guichet fermé deux jours avant, la clôture du festival Reevox se présentait ardente, et personne ne semble en être ressorti déçu au vu des visages souriants tout au long de cette soirée. Postcoïtum : expérimentations electro/batterie Postcoïtum – composé d’un gars au chant/synthés/machines et d’un autre à la batterie – a introduit cette dernière étape du Reevox devant une salle bien rempli pour l’heure. La première partie du set était difficile à décrypter, mêlant de nombreuses contre-rythmiques du batteur et des intro très vastes. Travaillé comme un set progressif, c’est au bout d’une 20aine de minutes que le groupe commence à se dévoiler, et le groupe vaut le détour, on vous conseille de passer un petit moment sur leur soundcloud. Aufgang : une belle claque En duo eux aussi – batterie/chant et piano/machines/chant – ils développent un univers très dense en mêlant un classique baroque avec des rythmiques envoûtantes et tout une partie électronique qui oscille dans le temps. Les deux virtuoses semblent dès lors caméléons, ils jouaient d’ailleurs dans une chapelle durant leur dernier passage à Marseille. Après comparaison avec le travail studio et le concert qu’ils ont donné ce soir, Aufgang est un groupe qui prend tout son sens en live en déployant une énergie communicative qu’on aimerait bien retrouver à nouveau dans l’année. Rone : un nouveau live plus poignant Sa scène passée de blanche à noire est évocatrice, le jeune producteur a travaillé un live un peu plus sombre, surtout plus poignant. Ils jouent ses nouveaux morceaux avec puissance, accompagné d’un jeu de lumière très dynamique, très soigné. Au vue de la belle captation des Sourdoreille à l’Olympia l’année dernier pour sa date de clôture, Rone semblait progresser durant son...